Siroter un cocktail en regardant le soleil se coucher sur Manhattan, ça vous tente? Si oui, n’oubliez pas de vous arrêter à The View, où vous pourrez admirer la ville du 48ème étage du Marriott Marquis Hotel une boisson à la main. Dans l’effervescence de Times Square, pas évident de trouver The View du premier coup d’oeil. En effet, il vous faudra localiser le Marriott Marquis Hotel. Les ascenseurs en question sont panoramiques, avec une façade de verre. Vous vous élèverez ainsi avec une vue imprenable sur les 48 étages menant à The View. C’est très joli même si un peu impressionnant. Fermez les yeux si vous avez le vertige! Une fois arrivé, il vous faudra choisir entre le restaurant et le bar/buffet. Le restaurant n’est pas particulièrement bon marché et ne possède pas un grand choix de plat. Si vous préférez boire un verre ou manger au buffet, il vous faudra descendre au 47ème étage. On prétend qu’il ne serait pas mort, mais tombé dans le coma et emmené en bateau par sa femme sur une île secrète où il aurait été soigné et dont il ne serait jamais parti, « son » Avalon. Kennedy était un grand joueur d’échecs et admirateur de Wolfgang Amadeus Mozart. John Kennedy est resté durant son mandat un président très populaire. Pour preuve, pendant toute la durée de son mandat, il n’a jamais connu de sondages inférieurs à 50 % d’opinions favorables. Lors des obsèques officielles, le jeune fils de Kennedy, John, effectue un salut militaire devant le cercueil de son père. Officiellement, c’est John lui-même qui a pris l’initiative de ce salut. John Fitzgerald Kennedy (trad. Stratégie de la paix (The strategy of peace), Paris, Calmann-Lévy, 1961, environ 220 p.. ↑ Theodore Roosevelt entre en fonctions plus jeune, mais sans avoir être élu président. ↑ Mary Josephine Hannon vit donc l’élection de son petit-fils à la Maison-Blanche et lui survécut, ce qui est un cas unique dans l’histoire des États-Unis. ↑ (en) Laurence Leamer, The Kennedy Men : 1901-1963, HarperCollins, 2011, p. ↑ Charles Vaugeois, « La double mort de J.-F.

Y est également évoquée la possibilité d’une 3e balle tirée de l’avant touchant à nouveau John F. Kennedy après le tir mortel. ↑ Christian Bosseno, Télévision française, Éditions L’Harmattan, 2010, p. ↑ (en) Michael Meagher, Larry D. Gragg, John F. Kennedy. A Biography, ABC-CLIO, 2011 (lire en ligne), p. ↑ « Lincoln et Kennedy : qui s’intéresse aux coïncidences ? ↑ Philippe Delorme, « Une auberge pas si rouge », dans Ombres et mystères de l’histoire. ↑ « Bilan-2009 : Le « programme de changement » d’Obama peut-il aller plus loin ? Georges Ayache, Une histoire américaine, Paris, Éditions Choiseul, 2010, environ 230 p. Brigitte Duranthon, JFK affaire classée, Paris, Connaissance et savoir, 2008, 176 p. François Forestier, Marilyn et JFK, Paris, Albin Michel, coll. « Essais Doc. Consultez notre site Web pour en savoir plus sur séminaire à New York. », 15 mars 2008, 297 p. André Kaspi, Kennedy. Les mille jours d’un président, Paris, Armand Colin, coll. « Biographies », 1er septembre 1993, 309 p. André Kaspi, John F. Kennedy. Une famille, un président, un mythe, Bruxelles, Complexe, coll. « Destins », 24 janvier 2007, 369 p. Laurent Guyénot, JFK 11 septembre : 50 ans de manipulations, Éditions Blanches, 2014, 315 p. Pierre Lunel, Les vies secrètes de JFK, First, 2013, 203 p. Frédéric Martinez, John Fritzgerald Kennedy, Éditions Perrin, 2013, 340 p. Geoffrey Perret, Kennedy, une vie comme aucune autre, Paris, Éditions Encre de Nuit, coll. « Document », 13 novembre 2003, 415 p. Thomas Snégaroff, Kennedy. Une vie en clair-obscur, Paris, Armand Colin, 18 septembre 2013, 240 p. Jean-Baptiste Thoret, 26 secondes, l’Amérique éclaboussée. 1973 : Executive Action (en), avec Burt Lancaster. 1979 : I… comme Icare, film français d’Henri Verneuil. Le cinéaste s’inspira de l’assassinat de Kennedy pour construire la trame de son film. Cinq cents John Kennedy, premier timbre américain en hommage à Kennedy. Arthur Meier Schlesinger Jr. Lewis Burwell Puller Jr.