Si vous êtes muni d’un pass, ne montez pas tout de suite aux guichets du 2ème étage ! Dans le hall de l’ESB, sur la droite avant l’escalator qui monte aux guichets, il y a un petit bureau « Gray Line – Citysightseeing ». C’est ici que vous pourrez échanger votre pass contre un ticket. C’est après être passé par ce bureau que vous monterez au 2ème étage… et que vous passerez derrière les guichets pour éviter toute la file d’attente ! Une fois monté via l’escalator, vous arriverez au 2ème étage. Si vous n’êtes pas sûr de vous diriger vers l’accès réservé aux pass, demandez à une hôtesse qui pourra vous guider. Voici quelques images qui vous donneront un aperçu, mais je préfère ne pas trop vous en montrer et vous laisser la surprise de cet instant ! Comment se rendre à l’Empire State Building ? L’Empire State Building se trouve sur la 5ème avenue, au niveau de la 33 et 34ème rue. Si vous vous y rendez à pied, il est difficile de passer à côté sans le voir ! La vue depuis l’Empire State Building c’est extraordinaire, mais le building est aussi impressionnant de l’extérieur et de plus loin ! Tous les soirs, les 30 derniers étages sont illuminés avec un thématique différente (rouge et rose pour la Saint Valentin, bleu blanc rouge pour le 4th of July, …etc). Il y a même certains soirs où les lumières sont animées et où certaines stars ou grandes marques privatisent le « light show ». Consultez notre page d’accueil pour en savoir plus sur voyage entreprise New York. C’est vraiment un spectacle à admirer !

Je fais d’ailleurs partie de ceux-là. Et croyez-moi, parfois, il y a de sacrées surprises. Ca peut-être aussi une manière de vous rassurer sur ce que vous allez réserver à l’autre bout du monde avant de régler la note ou de laisser un acompte. Pour ma part, je privilégie depuis 1 an, un autre mode d’hébergement, la location d’appartement. J’ai un chéri qui fouine partout et qui adore organiser les voyages. Avant notre départ il a trouvé un site de location d’appartements, il s’agit d’Airbnb. L’avantage de ce site, c’est que le prix de votre réservation n’est versé au loueur que 24h après votre arrivée, ce qui vous laisse le temps de réagir en cas de problème. De plus, vous pouvez sélectionner votre location par rapport à votre budget ou encore par rapport au quartier où vous souhaitez loger. Je vous conseille d’aller y faire un tour avant de réserver un hôtel. La location d’appartement est non seulement avantageux d’un point de vue budgétaire, mais en plus vous évitez les touristes et avez l’impression de vivre au rythme de la ville comme si vous y habitiez. Allez jeter un coup d’oeil, ça vous donnera certainement l’envie de voyager, même si ce n’est pas à New-York. Pour ce qui est du guide à vous conseiller, le Berlitz est un excellent petit guide à un prix très raisonnable pour son contenu. Pour 8,95 euros, vous aurez chaque quartier détaillé avec les boutiques où se rendre, les balades à faire et les plans de quartier. J’aime particulièrement leur collection de guides pour une chose, on est très loin du guide touristique du style Le routard. Celui-ci vous emmènera bien au delà de ce que vous auriez pu découvrir par vous même. Il vous fait découvrir les coins insolites que seuls les locaux connaissent. C’est la manière dont j’aime voyager. Voilà, j’espère que cette petite balade outre Atlantique vous aura plu. Quant à moi, je vous prépare pour très bientôt un nouveau post sur New-York. Alors à très vite.

Située sur la 7ème rue, entre la 2ème et 3ème avenue, cette église ukrainienne a longtemps été l’épicentre de l’immigration ukrainienne. Le quartier est d’ailleurs appelé Little Ukraine. St. Marks Place est la rue branchée et culturelle d’East Village. Vous y trouverez disquaires, tatoueurs, piercings et bars sympas, le tout dans un décor d’immeubles « brownstones » et leurs escaliers de secours sur les façades. De nombreuses artistes urbains peignent régulièrement les murs de cette rue. C’est vraiment une rue où il faut passer si vous allez à East Village ! Dans la bas de la rue se trouve le Theatre 80, considéré comme le « Hollywood Boulevard » de New York (bon, ne vous attendez pas à quelque chose d’extraordinaire… On vous met les photos 🙂 ) Situé entre St. Marks Place et First Avenue. L’église épiscopalienne est la deuxième plus ancienne église de Manhattan. Elle est située au croisement de la 10ème rue et la 2ème Avenue. Greenwich connut un fort développement en 1822 quand la fièvre jaune qui affecta New York poussa ses habitants à rechercher un lieu plus sain. Beaucoup s’installèrent alors définitivement à Greenwich Village. Ils furent rejoint dans le milieu du 19ème siècle par de nombreux artistes et intellectuctuels. On citera parmi les plus connus Washington Irving, Mark Twain, Henry James, Edgar Allan Poe, Edward Hopper, Eugene O’Neill, Walt Whitman, E. E. Cummings et Dylan Thomas. La musique folk se développa également à Greenwich Village et Bob Dylan ou le groupe The Mamas and the Papas en étaient les artistes les plus représentatifs. Le théâtre du Village servit de scène à de nombreux comédiens et dramaturges new-yorkais et dans les années 1970 les mouvements gay tentèrent d’affirmer leur identité. Aujourd’hui le prix de l’immobilier a fait fuir une grande partie des artistes bohèmes pour laisser place à une population plus bourgeoise. Cependant l’identité du Village demeure, faisant de ce quartier un secteur vraiment à part dans la ville de New York. Le parc principal de Greenwich Village est le Washington Square Park au coeur du quartier. On admirera près du parc le magnifique arc de triomphe en marbre réalisé en 1895 par Stanford White et les magnifiques maisons de style néo-grec. C’est aussi près de Washington Square Park que se trouve la New York University (NYU), une des plus importantes universités de la ville avec la Columbia University, la Rockefeller University et la Fordham University. Sur Greenwich Avenue on ne pourra ne pas voir le Jefferson Market Courthouse construit en 1877, ancien palais de justice qui abrite aujourd’hui une bibliothèque.

Au mois d’avril 1964, les 30 derniers étages sont illuminés en blanc à l’occasion de l’exposition mondiale de New York. ], couleurs traditionnelles des fêtes de fin d’année, ce qui représente, avec le sapin géant du Rockefeller Center, l’un des symboles les plus frappants de la saison de Noël à New York. En outre l’Empire State Building est parfois éclairé pour des événements exceptionnels. À l’occasion du 80e anniversaire de Frank Sinatra, le gratte-ciel fut éclairé d’une lumière bleue, en référence au surnom de Sinatra, Ol’ Blue Eyes. En ce qui concerne les évènements sportifs, l’Empire State Building prend souvent les couleurs des équipes de la ville lorsqu’elles jouent à domicile. ], en référence aux balles de tennis, pendant la quinzaine de jours du tournoi, fin août et début septembre. En 2001, après les attentats du 11 septembre, le bâtiment fut illuminé en bleu, blanc, rouge, les couleurs du drapeau américain, pendant plusieurs mois, avant un retour à la normale du calendrier des illuminations. Lee Harvey Oswald était-il le seul tireur ? Qui est le commanditaire ? Jack Ruby, qui a tué Lee Harvey Oswald deux jours après son arrestation, était-il envoyé par la pègre, avec laquelle il entretenait des liens ? Le FBI, la CIA sont-ils impliqués dans la mort de Kennedy ? Il s’agit de l’adaptation du livre de l’ancien procureur Vincent Bugliosi, « Four Days In November », notamment chargé de l’accusation dans le procès du tueur en série Charles Manson. David Miller en 1973 présente l’organisation et l’exécution d’un complot par des membres d’une organisation d’extrême droite et de milliardaires texans destiné à assassiner Kennedy dans le but d’engager le pays dans la guerre du Vietnam. Le film est inspiré par le livre de Mark Lane l’avocat de Lee Harvey Oswald, qui l’a défendu auprès de la commission Warren. Le « JFK » d’Oliver Stone, sorti en 1991, est à l’origine de la loi de 1992 sur la déclassification des documents.

Les attentats de Paris ont-ils provoqué des réjouissances dans les territoires palestiniens, comme l’affirmait cet internaute sur Twitter (l’auteur a supprimé son tweet depuis) ? Le cliché présenté comme des scènes de liesse après les attaques en France est en réalité une photo de l’agence Reuters de 2012, sur laquelle des Gazaouites célèbrent la signature d’un cessez-le-feu entre le Hamas et Israël. La psychose a-t-elle saisi les rues de la capitale française, vidée de ses habitants au lendemain des attaques, comme semblent le suggérer ces quatre photos massivement relayées par les internautes ? Alertées par la couleur très verte des arbres de la première photo et heurtées par le décalage qu’elles observaient entre ces images et l’atmosphère réelle du pavé parisien, plusieurs personnes ont soupçonné une manipulation. A raison, car ces photos n’ont pas été prises samedi. La mairie de Paris qui encourage la population à aimer « la musique, l’ivresse et la joie » contre « le terrorisme et l’extrémisme ». Un message d’espoir largement relayé sur les réseaux sociaux.

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