Il fut présenté pour la première fois à la foire-exposition de New York en 1939. Le client était hissé à une soixantaine de mètres de hauteur puis descendait jusqu’à terre, son parachute suspendu au bout d’un câble. Ce manège fut démonté par la suite puis, nettoyé, restauré et repeint, on s’interrogea sur sa destinée : le rendre à sa vocation première de manège ou l’ériger tel une structure symbolique. Les auto-tampons. Ce sont des véhicules miniatures pourvus d’un pare-chocs en caoutchouc sur tout leur pourtour et qui évoluent sur une piste métallique. Un mât disposé à l’arrière et en contact permanent avec un grillage électrifié situé en hauteur apporte l’énergie nécessaire à la motorisation. Le but du jeu est de décrire de grandes courbes et de heurter les autres véhicules. L’île comprenait aussi un grand nombre de Carrousels et a même donné son nom à l’un des styles de carrousels américains. L’aquarium de New York s’est installé en 1957 sur l’emplacement de Dreamland et le stade de KeySpan sur l’ancien site de Steeplechase park.

L’attaquant sénégalais de Liverpool Sadio Mané (g) taclé par le milieu de Leicester Hamza Choudhury, le 30 janvier 2019 à Liverpool. Une occasion manquée: Liverpool, tenu en échec par Leicester (1-1), n’a profité qu’à moitié de la défaite de Manchester City la veille pour prendre le large en tête de la Premier League, mercredi lors de la 24e journée. Au classement, Liverpool pouvait s’envoler. Derrière, la course à la Ligue des champions s’est resserrée, en plus de bousculer la hiérarchie en place jusque-là. En raison de son naufrage, Chelsea (5e avec 47 pts) a laissé la dernière place qualificative à Arsenal, qui dispose de la même différence de buts, mais a une meilleure attaque. Après son nul la veille contre Burnley (2-2), Manchester United peut largement espérer revenir (45 pts). En manque d’imagination, les «Reds» ont souffert le martyr à Anfield. Pourtant, dès la 2e minute, Mané avait réussi à placer un tir croisé, trop puissant pour Smeichel. Mais les «Foxes» ont ensuite fait honneur à leur réputation de tueurs de géants, eux qui avaient fait tomber City et Chelsea pendant les Fêtes.

C’est l’un des emblèmes de New York. Terminé en 1931, ce building de 102 étages et 443 mètres de haut (en comptant l’antenne à son sommet) est de toutes les images, de tous les romans, de tous les films qui ont la ville pour cadre. L’Empire State building est donc l’un des gratte-ciels les plus connus du monde. Tellement connu que personne ne se demande d’où lui vient son nom étrange. Parmi les New-Yorkais eux-mêmes, beaucoup l’ignorent. Littéralement, il signifie « Le building de l’Etat Empire ». Or, l’Etat Empire, c’est le surnom donné à l’Etat de New York. Tous les Etats américains possèdent un surnom : « Sunshine State » pour la Floride, « Grand Canyon State » pour l’Arizona, etc. Pourquoi avoir collé à l’Etat de New York ce surnom si pompeux? Les hypothèses sont nombreuses mais personne n’a jamais eu le fin mot de l’histoire – et il est probable que personne ne l’aura jamais. Ce qui est certain, c’est que dès le début du XIXe siècle, voyage entreprise New York « Empire State » est une appellation adoptée de manière plus ou moins officielle. Parmi les hypothèses couramment avancées, quelques unes sont liées à George Washington. Le premier président de la nation américaine (de 1789 à 1797) aurait, dans une lettre adressée au maire de New York en 1785, qualifié la ville de « Seat of the Empire ». Il aurait aussi, cinq ans plus tard, utilisé l’expression « Pathway to Empire » (« Voie vers l’empire ») au sujet de la ville, au cours d’une conversation avec un gouverneur.

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