Le voyage touche bientôt à sa fin. Nous voilà déjà au 5ème jour de notre city-trip à New York. Le quartier de Greenwich village se trouve entre Soho (au sud) et Chelsea (au nord). Il borde également l’Hudson, ce qui rend les balades le long du fleuve très agréables. Greenwich Village, aussi appelé « West Village » est un quartier « coup de cœur » pour nous. Là-bas, vous ne trouverez pas de grands buildings modernes de 100 étages. Uniquement de petits immeubles (souvent en briques rouges) dépassant rarement les 5 étages. C’est également à Greenwich village que commence la jolie balade appelée « High Line » : une ancienne voie de chemin de fer réhabilitée en parc « longiligne ». Pour tout savoir sur la High Line, rendez-vous sur notre article regroupant les « incontournables de New York ». Partons plus au sud à la découverte de Tribeca. Ce quartier était à l’origine une zone industrielle. Suite à un plan de rénovation dans les années 90, il est devenu un quartier résidentiel tendance.

Après ces clarifications sur le billet d’entrée pour l’Empire State Building et sa réservation, place à mes conseils pour bien planifier sa visite. ’ai déjà dit, avoir réservé un billet pour l’Empire State Building est primordial pour éviter la longue file d’attente – le coupe-file à l’ESB est un vrai avantage ! ’Empire State Building de nuit, sachez que les trépieds y sont interdits ! ’Observation Deck de l’Empire State Building, au 86ème étage, pensez à regarder partout autour de vous mais aussi vers le bas. Comme je l’expliquais plus haut, si vous comptez visiter l’Empire State Building et Top of the Rock, je vous recommande d’aller à l’ESB de nuit car Top of the Rock se visite de préférence en journée. Après ces explications sur la visite et sur la réservation du ticket pour l’Empire State Building, évoquons tout de même rapidement le gratte-ciel en lui-même. Même si l’Empire State Building n’est plus le plus haut gratte-ciel de New York, il n’en reste pas moins le plus prestigieux, le plus mythiques de gratte-ciels de New York. 1931 jusqu’en 1967 ! Si vous souhaitez obtenir plus d’informations sur le gratte-ciel et son histoire, sachez que tous les billets pour l’Empire State Building permettent d’avoir l’audio-guide. L’audio-guide de l’Empire State Building vous permettra d’en savoir plus sur la construction du bâtiment, son histoire mais aussi des anecdotes concernant l’édifice et son passé. Consultez notre page d’accueil pour en savoir plus sur voyage entreprise New York. Ce guide dédié à l’Empire State Building et à la réservation du billet pour la visite se termine. Je pense avoir été exhaustif en évoquant tout ce qu’il faut savoir sur le billet et la visite de l’ESB à New York.

De la fenêtre du métro de la ligne F qui traverse Brooklyn, bien avant de voir l’océan et la plage de Coney Island, on aperçoit le Parachute Jump, «la tour Eiffel de Brooklyn». Reine de métal de 76 mètres de haut, elle domine depuis 1941 le New York playground, le «terrain de jeux de New York». Bousculé au gré des utopies urbanistes, des municipalités et des propriétaires ambitieux, le site a failli mille fois succomber. Après avoir connu une longue période de déchéance, il reprend vie à coups de rénovations chaotiques, au risque de devenir un parc d’attractions parmi tant d’autres. «Coney Island baby… Man, I’d swear, I’d give the whole thing up for you» («Coney Island baby…, je laisserais tout tomber pour toi»), chantait Lou Reed. Dick Zigun, «maire autoproclamé» de Coney Island, est l’un de ceux qui lui ont beaucoup donné. Zigun est tombé amoureux du parc à la fin des années 70 et tente, depuis, de défendre «l’âme» de Coney. Il est également le fondateur de Utopia Animal Rescue Ranch, dont la mission est de soigner les animaux errants, blessés, âgés et qui ont été victimes d’abus ; plus de 1 000 chiens ont été sauvés de l’euthanasie. Le premier appel de Mc Govern à Kinky est pour lui apprendre qu’il y a un cadavre, avec onze roses dans la main, sur le plancher de l’appartement en face du sien. Le second est pour lui dire que les flics l’ont arrêté parce qu’ils ont trouvé l’arme du crime chez lui. Kinky sait bien que Mc Movern, reporter au Daily News, descend plus volontiers des verres d’alcool que ses semblables. Mais lorsqu’il trouve un reçu pour une douzaine de roses chez le journaliste, il n’est plus sûr de rien. Sauf que tout le monde est fou à Greenwich Village. Avec ce roman, me voilà obligé d’ajouter Kinky à la liste des personnages de détective dont il va falloir que je lise les aventures.

New York City Ce document accompagne une série de photographies de la ville de New-York que vous pouvez utiliser en classe avec vos élèves dans le cadre de la découverte culturelle des pays anglo-saxons. Les photographies sont librement téléchargeables, vous pouvez les imprimer, ou les visionner. Aucune légende n’apparaît sous les photos afin de pouvoir amener vos élèves à poser des questions, s’interroger sur les lieux. Les questions peuvent être : • Do you know this place? • Where is it? • What is it? • What can you see on the picture . Vous trouverez, ci dessous, les légendes des photographies (en français et en anglais). 35. Un peu d’histoire….. En 1524, une expédition française conduite par un Florentin, Giovani da Verrazanno découvre pour la première fois la baie de New York. Puis en 1609, un marin anglais, Henri Hudson explore les côtes de l’Amérique et découvre la baie qui va porter son nom. En 1623, les Néerlandais fondent la province de New Netherland. En 1664 les Anglais prennent la ville et la rebaptisent New York. En 1776, New York se rebelle contre les anglais et déclare son indépendance, le congrès la déclare capitale de la fédération. En 1800, la capitale politique devient Washington En 1825, le développement des moyens de communication (percement du canal Erié et création de la voie ferrée) marque le début de l’expansion de New York. Sa croissance devient impressionnante : 500 000 habitants en 1850, 5,5 millions en 1900. Actuellement, il y a plus de 7 millions d’habitants. New York City, NY ou encore NYC, est une ville du nord-est des Etats-Unis sur la côte Atlantique. La commune s’étend sur cinq circonscriptions administratives ou « boroughs » : Manhattan, Brooklyn, le Queens, le Bronx et Staten Island.

]. Elle est directement au nord de Gatineau à environ 15 minutes de route d’Ottawa et fait ainsi partie de la région de la capitale nationale. Le nom de « Chelsea » est utilisé depuis le début des années 1800: Old Chelsea (1819), Paroisse Saint-Steven-de-Chelsea (1835), Chelsea (vers 1870). Le nom provient de Chelsea, New-Vermont, l’endroit d’où provient Thomas Brigham, le premier colon. L’endroit a déjà été connu sous le nom de « Hull-Ouest » ou West Hull, mais le nom fut changé pour éviter toute confusion avec la ville voisine de Hull (maintenant Gatineau). La municipalité de Chelsea s’est développée grâce au commerce du bois tout comme la vaste majorité de l’Outaouais. En raison de la traite des fourrures intensives, les castors disparaissent presque totalement de la région. ]. En 1840 les moulins Gilmour s’implantent aux chutes Chelsea et cela sera un élément marquant dans le développement de cette municipalité. ] au milieu du XIXe siècle. Le trajet se présentait bien, il y avait très peu de monde dans le métro qui, sur cet itinéraire, est souvent aérien dévoilant ainsi le paysage urbain et des quartiers inconnus. Malheureusement, à mi-parcours, le métro s’est arrêté, « tout le monde descend ! ». La ligne était en travaux, il fallait descendre et prendre un bus peu climatisé mais extrêmement bondé. Le voyage nous a semblé très long ! Une fois à Coney Island, on est immergé dans un lieu à la fois pittoresque, un peu désuet et assez mythique. Avant d’y aller, j’avais déjà des images en tête car le cinéma a tourné de nombreux films ici. L’histoire de Coney Island n’est pas récente. Elle a d’abord attiré les foules grâce à ses plages de sable et dès la fin du 19e siècle c’est une station balnéaire en vogue. Puis, au début du siècle suivant, elle devient la plus importante « zone d’amusement » des États-Unis grâce à ses trois parcs d’attractions. Aujourd’hui, il ne reste plus grand chose du brillant de cette « Belle époque ». C’est un peu carton pâte, un peu vide, mais j’aime ce charme d’autrefois.

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